Né en 1971, Alexandre Civico est membre du collectif Inculte. Après La Terre sous les ongles (Rivages, 2015), La peau, l’écorce (Rivages, 2017) et Atmore, Alabama (Actes Sud, 2019), Dolorès ou le ventre des chiens est son quatrième roman.
Diane Dupré la Tour, née en 1981, a débuté comme journaliste dans la presse économique. En 2020, elle a reçu la distinction internationale de Fellow Ashoka, qui soutient et accompagne des entrepreneurs sociaux visionnaires, capables de transformer en profondeur le fonctionnement de notre société. Comme à la maison est son premier ouvrage.
Étienne Kern vit et enseigne à Lyon. Il est l’auteur de plusieurs essais littéraires remarqués, ainsi que d’un roman, Les Envolés, couronné en 2022 du prix Goncourt du premier roman et traduit dans plusieurs langues.
Mye est une autrice française. Née en 1976, passée par le théâtre, la danse, la poésie, elle signe avec Belette son premier roman.
Après une faculté de philosophie rapidement écourtée, Jacky Schwartzmann a enchainé les petits boulots pour vivre, sans jamais cesser d’écrire. Assistant éducateur, libraire, serveur, barman, conseiller qualité Engie et pour finir approvisionneur dans l’industrie chez Alstom, il vit désormais de ses romans, bandes dessinées, et scénarios.
Plutôt que de suivre une formation au dessin, Sébastien Verdier se consacre à des travaux alimentaires tout en envoyant régulièrement des projets aux éditeurs. Jusqu’au jour où Pierre Léoni, des éditions Clair de Lune, transmet son dossier au scénariste. François Corteggiani, qui lui permet de dessiner son premier album, Ultimate Agency, avant de le faire travailler sur la nouvelle version de Pif en compagnie du scénariste Pierre Christin. Lequel lui écrira ensuite deux scénarios, Rencontre sur la Transsaharienne et Orwell.
Né en 1971, Alexandre Civico est membre du collectif Inculte. Après La Terre sous les ongles (Rivages, 2015), La peau, l’écorce (Rivages, 2017) et Atmore, Alabama (Actes Sud, 2019), Dolorès ou le ventre des chiens est son quatrième roman.
Diane Dupré la Tour, née en 1981, a débuté comme journaliste dans la presse économique. En 2020, elle a reçu la distinction internationale de Fellow Ashoka, qui soutient et accompagne des entrepreneurs sociaux visionnaires, capables de transformer en profondeur le fonctionnement de notre société. Comme à la maison est son premier ouvrage.
Étienne Kern vit et enseigne à Lyon. Il est l’auteur de plusieurs essais littéraires remarqués, ainsi que d’un roman, Les Envolés, couronné en 2022 du prix Goncourt du premier roman et traduit dans plusieurs langues.
Mye est une autrice française. Née en 1976, passée par le théâtre, la danse, la poésie, elle signe avec Belette son premier roman.
Après une faculté de philosophie rapidement écourtée, Jacky Schwartzmann a enchainé les petits boulots pour vivre, sans jamais cesser d’écrire. Assistant éducateur, libraire, serveur, barman, conseiller qualité Engie et pour finir approvisionneur dans l’industrie chez Alstom, il vit désormais de ses romans, bandes dessinées, et scénarios.
Plutôt que de suivre une formation au dessin, Sébastien Verdier se consacre à des travaux alimentaires tout en envoyant régulièrement des projets aux éditeurs. Jusqu’au jour où Pierre Léoni, des éditions Clair de Lune, transmet son dossier au scénariste. François Corteggiani, qui lui permet de dessiner son premier album, Ultimate Agency, avant de le faire travailler sur la nouvelle version de Pif en compagnie du scénariste Pierre Christin. Lequel lui écrira ensuite deux scénarios, Rencontre sur la Transsaharienne et Orwell.
Dans un centre pénitentiaire niché au cœur des Alpes, Antoine Petit est chargé d’établir le profil psychologique de celle dont le nom est sur toutes les lèvres. Dolorès Leal Mayor s’est rendue tristement célèbre pour avoir assassiné une dizaine d’hommes puissants et être à l’origine d’une épidémie de meurtres dans tout le pays, que le jeune psychiatre a pour mission de juguler.
Fable sur la violence induite par le capitalisme et son patriarcat, Dolorès ou le Ventre des chiens, sorte de “Justine” en miroir, est une ode désespérée à l’incandescence des révoltes, et à toutes celles et ceux qui décident, un jour, de relever la tête.
« Ce livre est le récit d’un accident de la vie. Pas juste d’un accident de voiture, mais de tout cet incroyable accident que constitue la vie elle-même, du début à la fin. »
Ébranlée par la mort de l’homme avec lequel elle partage sa vie, Diane Dupré la Tour décide de changer les règles du jeu qui régissent son existence. Elle cofonde, en 2016, Les Petites Cantines, des restaurants participatifs où vient cuisiner qui veut et vient manger qui veut, pour un prix libre. Le but n’est pas d’en tirer profit, mais de relier les gens les uns aux autres. Dans ce récit qui tisse ensemble l’intime et l’universel, Diane Dupré la Tour raconte son chemin personnel de retour à la vie et la naissance d’un projet qui redonne à d’autres l’appétit de vivre.
« Nous sommes la somme de nos amours. »
Et c’est la seule chose qui restera de nous.On l’a comparé à Gandhi, à Einstein, à Lénine. Des foules l’ont acclamé. Des milliardaires lui ont tapé sur l’épaule. Les damnés de la terre l’ont imploré. Aujourd’hui, son nom nous fait sourire, tout comme son invention : la méthode Coué. Singulier destin que celui d’Émile Coué, obscur pharmacien français devenu célébrité mondiale, tour à tour adulé et moqué. La vie meilleure retrace l’histoire de ce précurseur du développement personnel qui, au début du XXe siècle, pensait avoir découvert les clés de la santé et du bonheur. Un homme sincère jusque dans sa roublardise, qui croyait plus que tout au pouvoir des mots et de l’imagination.
« La cabosse, je connais. Faut rien lui laisser. Sinon, elle prend une place trop grande. Faut que ça passe. Comme si rien. Voilà tout. »
Belette, 13 piges, vit à la dévale. Avec Babine, sa bicyclette, elle fonce et fuit les baffes du père et les coups du sort. Un jour, elle se réfugie sur la Grand plage, dans un bunker abandonné pour y mettre ce qui lui reste de chaud, sa poésie bien à elle et le fantôme de son amoureux, tombé pour un baiser qui colle. Dans sa tentative folle de résistance, elle peut compter sur le Bruno, le vieux Léon et une fan de Janis Joplin. Alors, quand les larmes menacent, Belette fonce de plus belle et brave encore le malheur, avec sa joie et ses mots.
Libre et intense, le personnage de Belette rappelle la fougue de la Zazie de Queneau, l’ambiance des plages du nord en plus. Un premier roman à la langue brute, poétique et entêtante.
Quand Thibault débarque à Planoise, quartier sensible de Besançon, il est loin de se douter que la vie lui réserve un bon paquet de shit. Conseiller d’éducation au collège, il mène une existence tout ce qu’il y a de plus banal. Sauf qu’en face de chez lui se trouve un four, une zone de deal tenue par des trafiquants albanais à la baffe facile, que ces derniers se font descendre lors d’un règlement de comptes et que Thibault et sa voisine, la très pragmatique Mme Ramla, tombent sur la cache de came. Que faire de tout ça ? Il suffit aux deux comparses de comparer leurs fiches de paie avec le prix de la barrette pour le savoir… et prendre une décision qui pourrait bien concerner tout Planoise.
« Gardarem lo Larzac » ! En 1972, un nouveau slogan se fait entendre dans la France de Georges Pompidou. Il signifie : « Nous garderons le Larzac ! »
Ce cri de ralliement traduit l’engagement des habitants de cette région, située au sud du Massif central, contre l’extension d’un camp militaire annoncée par le gouvernement en 1971, puis décrétée d’utilité publique l’année suivante. Cette mobilisation d’une ampleur exceptionnelle, ponctuée de grandes manifestations et de coups d’éclat, réunit paysans locaux refusant de vendre leur terre, militants révolutionnaires et citadins venus s’installer au Larzac. À travers cette lutte paysanne, le Larzac reste encore aujourd’hui un symbole de résistance, de mobilisation pour la défense de l’environnement, de l’aménagement du territoire et tout simplement du monde rural.
Les éditions A2MIMO proposent des albums sensibles et poétiques pour offrir d’autres imaginaires, éveiller les curiosités, et (re)découvrir le monde qui nous entoure.
Du bluegrass traditionnel aux compositions de Neil Young, il est un chemin qu’Appaloosa dessine. Leur route fait dialoguer banjo, mandoline et violon, guidée par une voix féminine entourée de chœurs. Enracinée dans des couleurs chaudes et des sons boisés, la musique d’Appaloosa est autant une plongée dans le répertoire folk américain qu’une joyeuse proposition de réarrangements de grands tubes pop. Nostalgie, rythme endiablé, le vent souffle dans les plaines américaines !
À peine ses valises posées sur les bords du Lez, son violon ne tarde pas à rassembler autour de lui des musiciens de tout horizon avides de partage. De cette rencontre naîtra le groupe Rabie Houti Band qui propose aujourd’hui une musique de fusion riche et variée mêlant à la fois la douceur orientale d’airs arabo-andalous revisités, l’énergie percutante d’une gamme de blues, le groove imparable d’un rythme afrobeat, la légèreté d’un swing. Rien ne se perd. Tout se transforme. À partir des diverses influences musicales de chacun, le Rabie Houti Band crée un paysage sonore unique car multicolore propice à la joie, à la fête et au voyage.
La création du band est née de la volonté de Rabie Houti, violoniste reconnu de la scène oranaise, qui souhaitait faire découvrir le répertoire arabo-andalou comme une invitation au voyage.
Face aux risques de pluie, le concert de Rabie Houti Band a été reporté a une date ultérieure. Le reste du festival est maintenu avec quelques modifications.
15h10 Alexandre CIVICO
15h40 Diane DUPRÉ LA TOUR
16h10 Étienne KERN
16h40 MYE
17h10 Jacky SCHWARTZMANN
17h40 Sébastien VERDIER
16h Ateliers enfants (à la librairie)
Sur inscriptions.
Fin du Festival vers 23h.
Agence Roques Immobilier | 04 67 44 22 92
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